The Turtle a décidé de faire profiter de sa voix si particulière les habitants d'outre-manche avec la réédition de l'album Prismophonic sous le titre anglais Love Shot Me Down avec comme fer de lance le morceau du même nom, english version de l'excellent L'amour nous gagne.
L'album sera également composé entre autre de Stralight (Starlite), Keep It Cool (Cool), Safe And Sound (Si mes larment tombent), Enemies In Love (Ennemis in love), When You Dance With Me (Je rejoins la scène) ou encore Timeless (Le temps qu'il reste).
À noter qu'il ne sera pas disonible en magasin mais uniquement sur commande par le biais du site officiel de Christophe (cliquer sur l'image ci-dessous).
Et comme pour marquer l'exploration de cette nouvelle facette de son côté artistique, Christophe Willem a choisit Lille comme première date d'une nouvelle série de concerts, deuxième partie de sa tournée Willem Sessions.
Certes il n'a pas interprété de morceaux anglais, mais comme à son habitude il a mis l'ambiance avec ses tubes tels que Berlin, Ennemis in love ou encore Heartbox tout en réintérprétation. Le must étant les "bootlegs" Call Me Maybe (Carly Rae Jepsen)/Le temps qu'il reste et surtout Sans contrefaçon (Mylène Farmer)/Double Je entonnant un : "Sans contrefaçon, je suis un garçon...faudrait savoir c'que tu veux..."
Et comme en souvenir de la Nouvelle Star, le public a eu droit à des reprises telles que le Kiss de Prince, Beautiful de Christina Aguilera ou... Tata Yoyo ! (Bon, celle-là était réclamée par quelqu'un du public)
Cependant, les balades n'étaient pas en reste avec Entre nous et le sol, Jacques a dit ou encore Si mes larment tombent.
Dommage que le Zénith n'était rempli que d'une fosse de 1300 personnes... Un Casino Barrière ou un théatre Sébastopol aurait été plus judicieux.
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